L'anxiété
Elle est normale les premiers jours d'adaptation. Il est primordial de ne pas laisser le chien seul à la maison durant quelques jours ni par la suite de longues heures.
Elle peut se traduire par les pleurs, des aboiements, qu'il faudra corriger avec patience. Tout comme le chiot, le chien réhabilité comprendra très vite qu'il est en sécurité dans son nouveau foyer et que vous êtes sa famille.
En cas de nervosité, de stress perturbant le foyer, il existe des remèdes naturels comme les colliers ou diffuseur de phéromones (D.A.P) qui apaiseront l'animal, les Fleurs de Bach ou l'homéopathie (demandez conseil à votre vétérinaire). Des thérapies comportementales peuvent également être envisagées pour apaiser le chien.
Les destructions
Le chien mordille, détruit les objets, les pieds de meubles, … et cela pour deux raisons principales :
Évitez-le reste du temps de le garder constamment avec vous : il doit avoir sa place attitrée pour dormir et ne pas le faire à vos pieds ou vous suivre dans toutes les pièces de la maison. Occupez-le avec des jeux, sortez-le en balades puis ignorez-le pendant vos activités à la maison pour qu'il apprenne l'indépendance.
Les aboiements
S’ils sont permanents en votre absence, il s'agit probablement à nouveau d'anxiété de séparation. Ils peuvent être corrigés par la méthode du détachement expliquée ci-dessus.
Il peut toutefois exister une autre cause aux aboiements : l'ennui. Contrairement aux aboiements émis par le chien qui donne l'alerte (bruit particulier, personne qui passe…), les aboiements "d'ennui" sont répétés, souvent rythmés, émis sur une longue période et indépendamment d'un événement extérieur. Comme leur nom l'indique, ils sont souvent exprimés par des chiens en manque d'activité ou de stimulations.
Les T.O.C
Ce sont les troubles compulsifs du comportement que l'on peut retrouver chez les chiens réhabilités sous la forme d'automutilations (léchage intensif des pattes, mordillements de la queue avec apparition d'irritations et/ou de petites plaies), de comportements stéréotypés, de troubles alimentaires (le chien boit très souvent et en grande quantité, il mange des objets, de la terre, des cailloux, etc.)
Dus en général à l'anxiété liée au changement, ils s'estompent souvent avec le temps, lorsque le chien s'habitue à son nouvel environnement. Ils peuvent cependant persister ou apparaitre si quelque chose perturbe le chien dans sa vie quotidienne (manque d'activité, ennui, arrivée d'un nouvel animal, élément stressant) et peuvent être corrigés grâce à une thérapie comportementale. Il est important de réagir vite pour éviter que ces T.O.C ne s'installent durablement. Eventuellement, le vétérinaire pourra conseiller l'utilisation de phéromones pour aider à l'adaptation.
Elle est normale les premiers jours d'adaptation. Il est primordial de ne pas laisser le chien seul à la maison durant quelques jours ni par la suite de longues heures.
Elle peut se traduire par les pleurs, des aboiements, qu'il faudra corriger avec patience. Tout comme le chiot, le chien réhabilité comprendra très vite qu'il est en sécurité dans son nouveau foyer et que vous êtes sa famille.
En cas de nervosité, de stress perturbant le foyer, il existe des remèdes naturels comme les colliers ou diffuseur de phéromones (D.A.P) qui apaiseront l'animal, les Fleurs de Bach ou l'homéopathie (demandez conseil à votre vétérinaire). Des thérapies comportementales peuvent également être envisagées pour apaiser le chien.
Les destructions
Le chien mordille, détruit les objets, les pieds de meubles, … et cela pour deux raisons principales :
- La première, la plus fréquente, est similaire à l'attitude du chiot qui découvre et mordille sans savoir. Pour remédier à cet inconvénient, fournissez au chien des jouets, des os à mâcher, protégez vos biens le temps qu'il apprenne l'interdit.
Surveillez-le et prononcez un "non" ferme dès qu'il commence la destruction. Remplacez l'objet par un de ses jouets. Ne criez pas, ne punissez pas et encore moins si vous découvrez la destruction trop tard.
- La seconde est généralement liée à l'anxiété de séparation : le chien mordille et détruit en votre absence.
Il convient de lui apprendre à se détacher de vous en minimisant vos départs et vos arrivées : ignorez-le avant votre départ et ne transformez pas le retour en "explosion de joie commune". Vos allées et venues doivent devenir anodines pour le chien, ce qui lui permettra d'accepter votre absence.
Évitez-le reste du temps de le garder constamment avec vous : il doit avoir sa place attitrée pour dormir et ne pas le faire à vos pieds ou vous suivre dans toutes les pièces de la maison. Occupez-le avec des jeux, sortez-le en balades puis ignorez-le pendant vos activités à la maison pour qu'il apprenne l'indépendance.
Les aboiements
S’ils sont permanents en votre absence, il s'agit probablement à nouveau d'anxiété de séparation. Ils peuvent être corrigés par la méthode du détachement expliquée ci-dessus.
Il peut toutefois exister une autre cause aux aboiements : l'ennui. Contrairement aux aboiements émis par le chien qui donne l'alerte (bruit particulier, personne qui passe…), les aboiements "d'ennui" sont répétés, souvent rythmés, émis sur une longue période et indépendamment d'un événement extérieur. Comme leur nom l'indique, ils sont souvent exprimés par des chiens en manque d'activité ou de stimulations.
Les T.O.C
Ce sont les troubles compulsifs du comportement que l'on peut retrouver chez les chiens réhabilités sous la forme d'automutilations (léchage intensif des pattes, mordillements de la queue avec apparition d'irritations et/ou de petites plaies), de comportements stéréotypés, de troubles alimentaires (le chien boit très souvent et en grande quantité, il mange des objets, de la terre, des cailloux, etc.)
Dus en général à l'anxiété liée au changement, ils s'estompent souvent avec le temps, lorsque le chien s'habitue à son nouvel environnement. Ils peuvent cependant persister ou apparaitre si quelque chose perturbe le chien dans sa vie quotidienne (manque d'activité, ennui, arrivée d'un nouvel animal, élément stressant) et peuvent être corrigés grâce à une thérapie comportementale. Il est important de réagir vite pour éviter que ces T.O.C ne s'installent durablement. Eventuellement, le vétérinaire pourra conseiller l'utilisation de phéromones pour aider à l'adaptation.